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Que faire face à un texte qui résiste ? Aborder la poésie en classe avec les pratiques des marginalia et du débat interprétatif.

Caro poesie-300x300 Afin d’impliquer les élèves dans une réception active, personnelle et créative de la poésie, Matthieu Gosztola, professeur de Lettres au collège André Malraux (17e), poète et critique, expérimente avec ses élèves de 5ème et de 4ème la pratique des marginalia (= écriture dans les marges), qui favorise une approche intuitive et personnelle des textes.

Afin d’impliquer les élèves dans une réception active, personnelle et créative de la poésie, est bienvenue la pratique des marginalia (= écriture dans les marges), qui favorise une approche intuitive et personnelle des textes.

Afin que cette pratique ne se résume pas à de pâles relevés impressionnistes, elle peut être pensée didactiquement, en tant que ferment d’une activité qui peut lui être consécutive et qu’elle peut préparer de manière dynamique, à savoir la pratique du débat interprétatif.

 

CYCLE 4 – 4e : Se chercher, se construire – Dire l’amour

 

Supports :

- Jacques Rebotier, « Litanie du coup de la foudre » (in Litaniquespoésie-parade, Gallimard, collection L’arbalète/Gallimard, 2000)

- Ghérasim Luca, « Prendre corps » (in Paralipomènes, Le Soleil noir, 1976)

 

  •  Mais aussi :

 

CYCLE 4 – 5e : Se chercher, se construire – Le voyage et l’aventure : pourquoi aller vers l’inconnu ?

 

Supports :

- André Velter, La traversée du Tsangpo (in Le Haut-Pays, édition revue et augmentée, Gallimard, 2007)

- groupement de poèmes sur l’Amérique (Stéphane Bouquet, Nos amériques, Champ vallon, collection Recueil, 2009 ; James Sacré, America solitudes, André Dimanche éditeur, 2010 ; Christophe Lamiot, Des pommes et des oranges, Californie, I, Flammarion, 2000)

 Détail de la séquence pédagogique et productions des élèves en pièces jointes à l'article.