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31/01/2017

Le projet partenarial

L’enseignement de la technologie ne peut se limiter à répondre à des questions que l’élève ne se pose pas.
 
26/10/2016

Le rythme implacable de l'innovation est-il gouverné par des lois d’évolution internes aux objets ?

L'AIMS est la principale association francophone d'enseignants et chercheurs en management, stratégie et organisation. Sa mission est de promouvoir les travaux en management, stratégie, décision, information, changement, innovation, contrôle... Les membres de l'AIMS sont des chercheurs universitaires et de grandes écoles ainsi que des praticiens d'entreprises et d'organisations publiques. Son site publie un article très intéressant de Jean-Claude Boldrini sur les lois d’évolution dans l’innovation technologique. Jean-Claude Boldrini est l’auteur du livre « L'Accompagnement des projets d'Innovation » aux éditions Editions Universitaires Européennes (Juillet 2010).
 
26/10/2016

Calcul de tolérance, indications et critères d'acceptation - Méthodes arithmétique, statistique quadratique, semi-quadratique et inertielle

PR NF E04-008 : avant-projet de norme soumis à enquête publique jusqu’au : 20/12/2012. Dans le cadre des normes relatives à la spécification géométrique des produits, le présent document s’applique à la spécification de tolérancement dans le cas où une tolérance fonctionnelle est assurée par une chaîne de cotes indépendante. Il décrit le calcul des tolérances des caractéristiques fonctionnelles élémentaires contribuant à l’obtention d’une exigence fonctionnelle modélisée par une relation linéaire selon les méthodes arithmétique, statistique quadratique et statistique inertielle. Il fixe l’identification et les critères d’acceptation de chaque méthode. La situation du présent document dans la matrice GPS est donnée en annexe.
 
26/10/2016

Automatismes - L’analyse structurée par tâches : application à un cas réel (seconde partie)

La demande de machines toujours plus efficaces, aux performances accrues et conçues en un laps de temps réduit met leurs concepteurs au défi d’améliorer les processus d’étude. La mise en œuvre de méthodes de conception qui ne procèdent pas par tâtonnements s’impose donc. Après la présentation, dans l’article précédent « Automatismes - L’analyse structurée par tâches (première partie) », d’une méthode structurée d’analyse par tâches, en voici une application sur un cas (presque) réel. Pour démontrer la pertinence de la méthode d’analyse structurée proposée dans le numéro 170 de Technologie, nous allons la mettre en application sur un cas réel… ou presque. En effet, nous allons partir de l’une des parties opératives (PO) virtuelles du logiciel ITS PLC qui vous a été présenté dans plusieurs articles récents (voir « À retrouver ou à lire dans Technologie » en encadré) : un palettiseur automatique de colis.
 
26/10/2016

Automatismes - L’analyse structurée par tâches (première partie)

Lors de la conception d’une machine, la recherche porte en premier sur le procédé, les solutions techniques et l’architecture de la partie opérative. Dès que l’on a mené à bien ce premier travail, il est nécessaire d’élaborer le cycle de fonctionnement en production normale – avec un graphe de coordination des tâches –, d’en déduire la cadence pour valider cette architecture au vu de la performance temporelle attendue. C’est seulement après ce contrôle de validité d’architecture de la machine que l’étude détaillée de la partie opérative (PO) tout comme celle de la partie commande (PC) pourront être poursuivies. Pour bien concevoir du premier coup la solution optimale de commande du fonctionnement normal d’un processus, il faut utiliser une méthode structurée d’analyse globale par tâches et non pas procéder par tâtonnements. Mais alors, comment décomposer le processus général en tâches ? Comment organiser au mieux ces tâches dans le temps en respectant leurs contraintes d’antériorités ? Et comment prévoir la performance temporelle du processus ?
 
26/10/2016

Jouons avec les automatismes

Vous en avez rêvé, Real Games et l’université de Reims Champagne-Ardenne l’ont inventé : un logiciel pour simuler des parties opératives (PO). Interactivité, hyperréalisme des animations graphiques 3D, des dynamiques et des sons… Le résultat, c’est cinq systèmes automatisés virtuels pouvant être connectés à un automate programmable industriel (API) quant à lui bien réel.
 
26/10/2016

Vérifier son moteur asynchrone

S’assurer que le moteur asynchrone choisi pourra vraiment s’acquitter de la tâche à laquelle on le destine constitue une réelle problématique. Pour y répondre, voici une méthode de dimensionnement et de vérification de choix qui utilise des organigrammes recensant les différentes étapes de la démarche et les contraintes dont elle doit tenir compte. Une fois que la puissance exigée du mécanisme à entraîner est déterminée et que les corrections nécessaires lui ont été apportées, on effectue un choix préliminaire du moteur. Ce dernier doit développer une puissance supérieure ou égale à celle de la charge et une vitesse proche de celle du mécanisme. Néanmoins, le choix définitif de la vitesse de rotation du moteur électrique s’opère en considérant simultanément le moteur et la transmission, notamment au niveau du coût. Les moteurs rapides, plus petits, sont, en principe, meilleur marché que les lents, mais ils exigent des rapports de transmission plus élevés, présentent des rendements très faibles et des facteurs de puissance défavorables. Et, la recherche du réducteur adéquat doit prendre en compte le côté encombrement.