​​Le spectacle fait référence à la mission Apollo 11, celle durant laquelle Neil Amstrong a marché sur la Lune.

​Le metteur en scène Thierry Balasse mimait la prise de contrôle d'une navette spatiale; jouant l'astronaute. Aussi, comme il est musicien et compositeur, il a donné à entendre sur la scène et pour la salle des musiques de l'époque, dites "planantes", ainsi Pink Floyd...

​Nous étions installés non seulement dans les années 1969 mais aussi dans la tête même des astronautes qui écoutaient cette musique dans leur cabine durant la mission.

​Manipulation des ordinateurs, et écoute des messages radio en lien avec les ingénieurs de la NASA.

​Les musiciens et chanteurs installés sur le plateau jouaient en live, une musique lente et fascinante.

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​Une musicienne acrobate est montée sur un fil en spirale installé au-dessus du plateau, mimant les contraintes liées aux lois de la pesanteur, ce qui fait qu'on avait l'impression - et c'était réel - qu'elle se déplaçait au ralenti, à travers des mouvements extrêmement lents et maîtrisés, comme si elle était effectivement sur la Lune - en apesanteur.

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​Plus la pièce progressait, plus la trapéziste montait haut dans les cintres.

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​Musiques, images de synthèse et lumières participaient à la fabrication d'un spectacle admirable.

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​ Solyne Jorry (classe de 4.5)