Le doux, le caché, le ravissement est une exploration poétique autour de la main et du trait ; un questionnement sur l’intelligence du bout des doigts et sur le temps de l’instant. Installé dans des transats vibrants au cœur d’un dispositif sonore et visuel immersif, le public est invité  à s’abandonner à une expérience sensorielle inédite. Né de la rencontre entre Jean-Louis Heckel, metteur en scène et acteur marionnettiste, et Serge de Laubier, compositeur et créateur du Méta-Instrument, un instrument électronique utilisant une technologie ultrasensible de détection du toucher, Le doux, le caché, le ravissement est un hommage à ce que les mains racontent. Convoquant Shakespeare, la philosophie de Winnicott, la musique de Bach ou Sibelius, tout autant que des textes, des vidéos et des compositions inédites, Serge de Laubier et Jean-Louis Heckel dessinent une symphonie de couleurs, de mots et de sons, à quatre mains.

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Toutes les classes de terminales du lycée Suzanne Valadon ont eu la chance de visiter la NEF, fabrique d’Utopies de Pantin. Après quelques expérimentations sonores et tactiles sur les ordinateurs de l’entrée, les élèves ont participé à l'installation « son et lumières » de Serge de Laubier: Le doux; le caché, le ravissement. Un questionnement sur l’intelligence du bout des doigts et sur le temps de l’instant.

Cette expérience sensitive et sonore a été autant surprenante que plaisante pour l’ensemble des élèves et donnera lieu au développement de leur dossier d’art présenté en fin d’année sur les diverses techniques numériques utilisées dans le Street Art aujourd’hui.