« Entre amis », un parcours de l’ANRAT suivi par les 5ème D

Depuis le début de l’année, les élèves de 5èmeD suivent un parcours de spectateur grâce à l’ANRAT (Association Nationale de Recherche et d’action Théâtrale lien) et au dispositif Transvers’Art intitulé « Entre amis ».

Dans le cadre de ce projet, les élèves ont découvert des textes dramatiques contemporains de Caroline Stella, Amine Adjina et Fabrice Melquiot.

A l’issue des représentations de Poussière(s) et Arthur et Ibrahim, les élèves ont posé des questions aux équipes artistiques en « bord de plateau ».

Une autre façon d’étudier le thème « Vivre en société : avec autrui, famille, amis, réseaux » au programme de 5ème

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 Scénographie de la pièce Arthur et Ibrahim, vue le 29 janvier au Tarmac

 

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 Rencontre avec l’équipe artistique d’Arthur et Ibrahim 

Des analyses et avis sur le spectacle

 Analyse de Sarah : « pour le décor, il y avait des globes suspendus au plafond, une carte sur le sol et une carte de France en fond de scène. Sur le plateau, il y avait une piste de skate et des sacs de voyage. Le son était très important, il était en lien avec ce qui se passait. Les lumières faisaient partie du spectacle. 

  Le spectacle parlait de deux meilleurs amis qui étaient inséparables. Mais le père d’Ibrahim n’est pas convaincu de cette amitié. Persuadé que les Français ne l’aiment pas, il a des discussions avec son fils. Du coup, Ibrahim est perturbé car son meilleur ami est Français. Il va donc lui proposer de devenir arabe. Les deux enfants peu soucieux des risques, foncent ! Ils décident de le renommer Omar, mais au moment de l’ultime épreuve de la circoncision, cette opération va tourner au drame. »

 «J’ai bien aimé le spectacle car moi aussi je suis d’origine algérienne et je me suis reconnue dans quelques scènes comme par exemple quand Ibrahim demande à son père s’il est Algérien ou Français. Je recommande cette pièce. » Elisa

 « J’ai bien aimé car les blagues étaient drôles et le décor très bien choisi pour le thème du voyage : la France en arrière-plan et l’Algérie au sol. » Moustapha

 « J’ai bien aimé le moment où Ibrahim et Arthur faisaient leur exposé et quand Ibrahim et son père parlaient, c’était drôle. Les deux acteurs sont habillés comme de vrais enfants. Les objets sont aussi très importants dans cette pièce. » Cindy

   

Fabienne Robert, professeure de Lettres.