Lancement du projet Globe Reporters, 2019-2020 Pour la quatrième année consécutive, des élèves de 4ème participent au projet Globe Reporters qui consiste à mettre en relation des élèves et des journalistes. Dans le cadre de l’éducation à la presse et aux médias, les classes de 4ème D et de 4ème B vont concevoir leur propre média et prendre conscience de toutes les étapes de la réalisation d’un journal et de la transmission de l’information, du fait brut à son traitement journalistique et à sa publication/diffusion. Après trois années à la découverte de pays d’Afrique ( Burkina-Faso , Bénin et Guinée ), les classes vont partir explorer le Québec, une province canadienne à la fois proche et loin de nous. Leur grand reporter s’appelle Marine Leduc. Journaliste indépendante, elle travaille pour plusieurs médias comme RFI ou le Monde Diplomatique. Une première rencontre avec Alain Devalpo, président de l’association et journaliste indépendant a eu lieu le jeudi 3 octobre. Il a présenté aux élèves son métier et le projet « Globe Reporters ». Toute la classe de 4ème D s’est montrée attentive et intéressée, prête à s’engager dans cette belle aventure au Québec. Tout au long de leurs recherches et de leur travail, ils seront accompagnés par leur parrain Marc Pinelli, un grand journaliste de Radio-Canada, aujourd’hui à la retraite mais prêt à s’engager à transmettre son expérience et sa passion du journalisme aux jeunes. Sa première visite fut très enrichissante pour les élèves.

Vous pourrez redécouvrir ici quelques photos de la représentation à la M.G.I., l'année dernière, ainsi qu'une petite vidéo - teaser, ci-dessous: Un beau spectacle et un bel esprit de d'équipe. Bravo à toutes et à tous !

Découvrez toutes les photos du projet « S’engager ensemble » avec les élèves de 5eA

Découvrez toutes les photos du projet « S’engager ensemble »

Les élèves germanistes des classes bilangues des deux sites Bercy et Baudelaire se sont rendus au salon du livre de la jeunesse dans la matinée du 29 novembre afin de participer à un atelier avec l’auteure Heike Faller et le dessinateur Valerio Vidali pour parler de leur livre «Hundert», sorti en France en octobre 2019 aux éditions du Seuil et en Allemagne un an auparavant. Un travail en amont avait été fait sur les deux éditions en classe en prévision de cet atelier. L’auteure : Heike Faller âgée de 48 ans est une journaliste indépendante, a publié en 2009 un livre sur comment faire des économies sur un an. C’est à la naissance de sa nièce voici six ans, qu’elle a eu l’idée « simple et évidente» comme elle dit de faire un livre retraçant tout ce que l’on apprend au fil de sa vie et bien qu’elle ne connaisse par de centenaire, elle a souhaité aller jusqu'à l’âge de 100 ans, d’où le nom de l’ouvrage «hundert» en allemand, traduit par «cent ans» en français. Elle voyait tous les progrès que sa nièce faisait en l’espace de trois mois, c’est pourquoi pour certaines planches de dessin (chaque planche correspond à un âge) elle a choisi d’y ajouter des ¼ et des ½ . Entre l’idée d’en faire un livre pour être lu en famille et pour toute la famille, cela lui a pris six ans. Heike Faller souhaitait trouver une phrase ouverte pour chaque âge, de façon à laisser l’imagination de chacun interpréter cette phrase, puis elle s’est mise en quête de trouver un dessinateur pour illustrer ses phrases et après quelques mois de recherche, elle a choisi le dessinateur Valerio Vidali. L’illustrateur : Valerio Vidali, 37 ans est un illustrateur italien qui vit depuis peu à Berlin après avoir vécu en Espagne, aux Etats-Unis et au Portugal. Il dessine très souvent la nature et dans le livre «cent ans», Heike Faller lui a soumis ses phrases que Valerio devait illustrer, parfois Heike lui soumettait une idée de dessin ou une orientation, ce livre a été une réelle collaboration, par exemple pour l’année 100, Heike voulait mettre un cimetière comme dessin de dernière planche, Valerio a choisi l’image universelle du papillon. Les élèves ont pu leur poser des questions en direct. Ils ont posé plusieurs questions à Valerio: de quelle façon il dessinait, par où il commençait… Valerio a fait une démonstration en direct, il commence par les jambes des personnages, il laisse le fond du papier dessin blanc, il a étudié le graphisme et la bande dessinée à Milan avant de voyager. Heike Faller leur a présenté des planches sans l’âge et les élèves devaient deviner et y associer une phrase différente de la sienne, puis dire ce qui avait été important pour eux en 2018, ce qu’ils avaient appris. L’auteure était très étonnée que son livre soit traduit en 15 langues, elle nous a expliqué que les éditeurs français et européens en général se rendaient au plus grand salon du livre qui a lieu de Francfort en Allemagne et que là, les éditeurs choisissent des livres dans la langue de l’auteur.e, puis achètent les droits pour la traduction, ensuite la maison d’édition recrute un.e traducteur.trice et met en contact le traducteur avec l’auteur.e. Pour Heike Faller, c’était la première fois qu’elle vivait une telle expérience, elle était étonnée de son succès, elle pensait que son livre resterait cantonner à l’Allemagne. Elle ne voit pas son livre comme un livre réservé à la jeunesse ; plutôt un livre qui s’adresse à tous, qui est universel, point de vue partagé par Valerio, le dessinateur qui peint ses personnages sans visage pour appuyer ce caractère universel de la vie à la mort. Un second livre est en préparation pour ce tandem qui a accueilli nos élèves le temps d’un atelier.

Voici des écrits d'élèves réalisés dans le cadre de l'EPI "Tous Français d'ailleurs", exposés au collège. Remonter à ses origines, se raconter, est une entreprise parfois difficile et pleine d'émotions. Quelques élèves ont voulu partager leur histoire personnelle. Merci à eux !

Mardi 21 mai 2019, les élèves de 6e A et B ont accueilli Jean-Claude MOURLEVAT au C.D.I. du site Baudelaire dans le cadre du Comptoir des Lecteurs. Les élèves ont lu et travaillé autour du roman Jefferson et ont pu en parler avec l’écrivain. Monsieur Mourlevat a découvert avec plaisir leurs livrets de lecture et les indices semés dans les couloirs pour le guider jusqu’au C.D.I. L’arme du crime, les lieux de l’histoire, des panneaux « Non aux abattoirs », le roman d’aventure lu par le héros hérisson de l’histoire, autant d’affiches ont permis d’accueillir l’écrivain avec enthousiasme. Le humble hérisson du roman a connu un vif succès. Son enquête pour prouver son innocence du crime de son coiffeur, chez qui il allait se faire « rafraichir la houppette », a mené les élèves sur des pistes surprenantes… Monsieur Mourlevat a évoqué la naissance de ce roman, l’idée du hérisson allant chez le coiffeur, prenant source dans ses échanges avec son jeune frère, avec qui ils inventaient des histoires dans leur lit quand ils étaient enfants. Du plaisir à la lecture et du bonheur avec Monsieur Mourlevat. Merci !

Pour cette nouvelle séance nous nous sommes organisés de façon à ce que tout le monde puisse avancer sur le projet. La moitié de la classe (les groupes qui avaient déjà tourné) est restée au CDI avec Mme Clastrier tandis que l'autre est allée à la Gaîté Lyrique accompagnée de Mme Criqui. Au CDI nous avons travaillé sur les exposés liés aux métiers du cinéma et à la Gaîté Lyrique de nouveaux groupes ont tourné.

Les élèves de 3A et de 3D de Mme Raine sont allés à la radio enregistrer leur propre émission autour de la poésie. Ils ont animé une émission entière qui est proposée à tous en podcast sur Radio Clype, le radio scolaire destinée aux élèves des écoles, collèges et lycées de Paris. L’occasion pour eux de faire partager leurs découvertes poétiques, l’évolution de leurs représentations de ce qu’est la poésie, mais aussi de faire entendre les textes qu’ils ont écrits lors de l’atelier d’écriture mené en classe avec le poète Jean-Louis Giovannoni. La mise en voix de leurs textes, guidée par la responsable du Radio Clype, Gwenaëlle Guillerm, donne encore plus de souffle à l’écriture. Le poète a tenu à les accompagner dans cette ultime étape, avant la parution de leur recueil. Les élèves ont donc pu également se livrer à l’exercice de l’interview. Leur spontanéité et leur à-propos fut le reflet d’un beau travail en amont et la mise en œuvre de compétences de lecteurs et d’orateurs. Une expérience riche pour tous. Les émissions de radio proposées par les élèves de 3A et de 3D autour de la poésie sont disponibles à l'écoute sur le site de Radio Clype. Ecouter/télécharger l’émission des 3A ici : Ecouter/télécharger l’émission des 3D ici : Un immense merci à Gwenaelle Guillerm pour son accueil bienveillant et son accompagnement si intelligent et sensible. Voici quelques images de ces moments en régie ou sur le plateau, avec les micros. Mme Raine, professeur de Lettres classiques

Le Bleu des abeilles: du récit à hauteur d’enfant à son expression dans un objet visuel. Atelier pluridisciplinaire pour la classe de 4ème A. Les élèves de 4e A ont étudié le roman Le Bleu des abeilles de Laura Alcoba avec leur professeur de français, madame Criqui. Ce roman est celui que Valentina Arce, metteure en scène au Théâtre du Shabano, va adapter dans sa prochaine création. Ce fut le point de départ du projet, et une belle plongée dans l’exil, de l’Argentine à la France, celui d’une narratrice, âgée de 10 ans, qui cherche à trouver sa place. Dépassement, résilience, voyage phonétique dans la langue française, territoire imaginaire créé pour s’évader : que de sujets abordés en classe ! L’idée était donc de partir de cette œuvre pour que les élèves se l’approprient et créent un objet visuel et sonore personnel, avec l’aide de Valentina Arce, bien sûr, mais aussi de Laurine Estrade, vidéaste. Pour cela, les 4e A ont écrit - énormément - autour des thèmes forts abordés dans l’œuvre : idéalisation, déracinement, désillusion, honte, exil et relation épistolaire. Madame Tricot a travaillé le fond historique du roman, en particulier son point de départ, la dictature du général Videla en Argentine (1976-1983), puisque la narratrice de dix ans va retrouver sa mère, réfugiée politique en banlieue parisienne et que son père est emprisonné à La Plata. Grâce au partenariat avec la Maison du Geste et de l’Image, sous la direction de Laurent Geniller pour les projets audiovisuels, les élèves ont manipulé différentes techniques pour leur permettre de réaliser leurs idées créatives autour du roman. Ils ont passé deux journées entières à la MGI (mardi 15 et mardi 29 janvier), accompagnés par mesdames Clastrier, Criqui et Tricot. Ils y ont enregistré en cabine leurs textes personnels, dont une partie sera utilisée en bande-son ; travaillé sur scène le théâtre et les ombres chinoises, la projection, pour créer des images scéniques ; utilisé les techniques du stop motion et de l’incrustation sur fond bleu pour produire des images vidéo. Le tout constituera un petit « court-métrage », imaginé et réalisé par les élèves. Il ne reste désormais qu’une demi-journée à la MGI, le vendredi 8 février, avec un filage au plateau pour des lectures de textes et les derniers éléments à régler. Les familles et amis pourront rejoindre les 4ème A à 18h pour une projection, lecture, débat autour de leurs réalisations. Merci aux élèves pour leur sérieux et leur travail continu. Merci spécial à Paul Thouny, qui a guidé les élèves en cabine d’enregistrement et Ernesto Islas, régisseur général au plateau de la MGI. Merci à Olesya Shilkina, photographe, pour ses belles images. Madame Criqui

Découvrez les photos prises lors de la visite de Sébastien Gendron, auteur du roman Sur la route d'Indianapolis, avec les élèves de 6e A et B. Pour lire l'article rédigé par Jeanne, Achille et Arthus, cliquez ici.

Vous découvrirez ici l'album de la visite au musée en compagnie de Valentine Goby.

Voici les photos de la visite...

Voici les photos de la rencontre avec les 6ème A et B: La visite de Timothée de Fombelle par Mila PINCAS

Le concours des dessins chinois est terminé, mais vous pouvez toujours admirer les créations des élèves dans le hall d'entrée du site Bercy. De plus, à partir des quatre premiers prix, un kakemono et des marque-pages ont été réalisés par l'illustratrice Marine des Mazery, l'occasion de célébrer la nouvelle année du tigre ! 新年快乐！

Jeudi 9 mars les élèves de 6°A ont fait une nouvelle sortie. Au programme visite de l'exposition Aéroports / Ville-Monde et début du tournage pour certains groupes. Un demi groupe a vu l'exposition avec Lola et Mme Clastrier pendant que l'autre travaillait avec Irène et Irvin (préparation et tournage des vidéos dans différents lieux de la Gaité). "A l'entrée de l'exposition des installations sonores et des lumières sont mises en place pour nous plonger dans le thème. Certaines œuvres ont un double sens, un en rapport avec l'aéroport et un autre qui dénonce quelque chose. Il y a une grande pièce "le couloir aérien" : en direct il y a le son, la vitesse, la hauteur des avions qui passent au dessus de la salle. Une autre œuvre représente une vidéo où on voit un drapeau. La vidéo est fixée sur le toit de la Gaîté Lyrique. Sur le drapeau il est écrit "All right good night", c'est la dernière phrase prononcée par le pilote du vol MH370 de la Malaysia Airlines, disparu au dessus du Golfe de Thaïlande le 8 mars 2014. Nous avons terminé par la chambre sonore où était disposé trois fauteuils, la bande son nous donnait l'impression d'être dans un avion". Alexandre. "Un des tournages (voir photos) étaient avec le groupe Lou, Ousna et Violette devant le bar du foyer historique. Elles avaient deux livres à présenter. Lou et Ousna parlaient des chats et Violette du tueur à la cravate. Après les résumés il y avait un challenge et des questions. En cas de mauvais réponses elles mangeaient un jelly-belly." Daniel

Le cours d’Arts-Plastiques et l’Atelier Artistique sont des espaces où l’on s’adonne à la joie de créer, de fabriquer : objets, sculptures, volumes et images de toutes sortes sur des supports variés, utilisant des techniques et des médiums divers. Ils sont des lieux d’expression, mais aussi de réflexion sur la pratique, dans un va- et-vient permanent. Lieux d’échange, de partage, de rencontre et de respect de l’autre, le cours d’Arts-Plastiques et l’Atelier Artistique apparaissent aussi, ponctuellement et régulièrement, comme des espaces « d’ouverture culturelle » sur des œuvres d’art dûment choisies, de toutes époques, ainsi que sur des artistes, des mouvements artistiques, des cultures et des civilisations différentes. Ils sont ainsi et en synthèse, -en relation avec les autres disciplines- des lieux propices à « l’édification et l’épanouissement de soi ». En illustration, quelques reproductions des travaux de mes élèves… Pierre Régisto, Enseignant en Arts-Plastiques.

Le cours d’Arts-Plastiques et l’Atelier Artistique sont des espaces où l’on s’adonne à la joie de créer, de fabriquer : objets, sculptures, volumes et images de toutes sortes sur des supports variés, utilisant des techniques et des médiums divers. Ils sont des lieux d’expression, mais aussi de réflexion sur la pratique, dans un va- et-vient permanent. Lieux d’échange, de partage, de rencontre et de respect de l’autre, le cours d’Arts-Plastiques et l’Atelier Artistique apparaissent aussi, ponctuellement et régulièrement, comme des espaces « d’ouverture culturelle » sur des œuvres d’art dûment choisies, de toutes époques, ainsi que sur des artistes, des mouvements artistiques, des cultures et des civilisations différentes. Ils sont ainsi et en synthèse, -en relation avec les autres disciplines- des lieux propices à « l’édification et l’épanouissement de soi ». En illustration, quelques reproductions des travaux de mes élèves… Pierre Régisto, Enseignant en Arts-Plastiques.

Le cours d’Arts-Plastiques et l’Atelier Artistique sont des espaces où l’on s’adonne à la joie de créer, de fabriquer : objets, sculptures, volumes et images de toutes sortes sur des supports variés, utilisant des techniques et des médiums divers. Ils sont des lieux d’expression, mais aussi de réflexion sur la pratique, dans un va- et-vient permanent. Lieux d’échange, de partage, de rencontre et de respect de l’autre, le cours d’Arts-Plastiques et l’Atelier Artistique apparaissent aussi, ponctuellement et régulièrement, comme des espaces «d’ouverture culturelle» sur des œuvres d’art dûment choisies, de toutes époques, ainsi que sur des artistes, des mouvements artistiques, des cultures et des civilisations différentes. Ils sont ainsi et en synthèse, -en relation avec les autres disciplines- des lieux propices à «l’édification et l’épanouissement de soi». En illustration, quelques reproductions des travaux de mes élèves… Pierre Régisto, Enseignant en Arts-Plastiques.

Le cours d’Arts-Plastiques et l’Atelier Artistique sont des espaces où l’on s’adonne à la joie de créer, de fabriquer : objets, sculptures, volumes et images de toutes sortes sur des supports variés, utilisant des techniques et des médiums divers. Ils sont des lieux d’expression, mais aussi de réflexion sur la pratique, dans un va- et-vient permanent. Lieux d’échange, de partage, de rencontre et de respect de l’autre, le cours d’Arts-Plastiques et l’Atelier Artistique apparaissent aussi, ponctuellement et régulièrement, comme des espaces «d’ouverture culturelle» sur des œuvres d’art dûment choisies, de toutes époques, ainsi que sur des artistes, des mouvements artistiques, des cultures et des civilisations différentes. Ils sont ainsi et en synthèse, -en relation avec les autres disciplines- des lieux propices à «l’édification et l’épanouissement de soi». En illustration, quelques reproductions des travaux de mes élèves… Pierre Régisto, Enseignant en Arts-Plastiques.

Dans le cadre du dispositif national Résidence d’auteur à l’École en partenariat avec le Centre national du livre, la classe de 4ème C a bénéficié d’un atelier d’écriture mené par Sarah Jalabert, autrice, poétesse et comédienne. La résidence d’auteur à l’École repose sur un partenariat entre un auteur et un établissement scolaire. Elle s’appuie sur les trois piliers de l’éducation artistique et culturelle : La rencontre avec les auteurs et la fréquentation des œuvres La pratique artistique des élèves L’acquisition de connaissances De novembre à décembre 2022, pendant six séances de deux heures, les élèves ont pu écrire des nouvelles à partir d’un même canevas mais avec une grande liberté pour chacun dans le choix du narrateur, des points de vue et du contexte. Ils ont pu développer leur créativité et leur sensibilité, guidés par une autrice disponible et à l’écoute. Au terme de ce travail d’écriture, une première restitution dans la classe a eu lieu le 9 décembre. Des élèves ont lu un de leurs textes, accompagnés par des camarades au piano. Cet exercice de lecture à voix haute a donné envie aux élèves d’aller plus loin dans l’aventure. Si bien que la publication d’un recueil de nouvelles ainsi qu’une restitution publique du projet sont programmées pour la fin de l’année scolaire. Cet atelier a permis de mettre en perspective les thématiques du programme de 4ème en français comme « la fiction pour interroger le réel » et « Individu et société : confrontations de valeurs ». Une belle façon de pratiquer l’écriture, lire et aborder les programmes scolaires autrement. F. Robert, professeure de français et de théâtre

L’atelier d’écriture poétique mené avec la classe de 3èmeC touche à sa fin. Sous le regard bienveillant du poète Jean-Louis Giovannoni, ancien président de la Maison des Ecrivains, et auteur des Mots sont des vêtements endormis, les élèves se sont emparés de l’écriture, à partir de mots, ou d’amorces. Chacun a essayé de trouver son lieu, sorte de locus amoenus de l’écriture. L’espace étant propre à chacun et infini. Les paysages intimes ou extérieurs se sont dévoilés et le poète n’a cessé de prodiguer ses conseils pour une écriture plus fluide. Lancés dans cette aventure collective de l’écriture, les élèves se sont écoutés les uns les autres et même, à la faveur d’une séance menée en salle informatique, se sont conseillés dans le choix des textes ou des mots. La publication d’un recueil est envisagée, le titre encore à définir ! Mme Raine, professeur de lettres classiques

25 janvier 2022 : petit voyage à l’Île de Java avec la classe de 6eC. Acccompagnés de leurs professeures, mesdames Henao et Foulon, les élèves ont participé à un atelier de GAMELAN à la Philharmonie-Cité de la Musique. Le gamelan est un ensemble d’instruments à percussions en métal : gongs et métallophone, auxquels s’ajoutent quelques tambours. Le plus difficile : coordonner les deux mains : l’une frappe avec la mailloche, l’autre arrête la résonance en pinçant la lame. Et encore plus difficile : arriver à jouer tous ensemble, bien en rythme, comme s’il n’y avait qu’une seule personne. Le gamelan fait partie de la liste du patrimoine culturel immatériel de l'humanité de l'UNESCO. Pour voir et écouter nos élèves jouer du gamelan cliquez ici , là et là.

Cette année l’Atelier a réalisé une série de travaux autour du thème : « Le motif de la fenêtre vu à travers les arts-plastiques et l’histoire de l’art ». Les productions des élèves ayant fréquenté l’atelier sont actuellement exposées sur un grand mur blanc de la salle 30, d’arts-plastiques. De nombreux travaux ont été réalisés par les élèves à partir de techniques diverses, voire mixtes (gouache, acrylique, pastel, crayons noir et de couleurs, collages, papiers collés, photographies, photomontages, techniques numériques etc…). Le motif de la « fenêtre » est présenté et représenté sous des points de vue différents, parfois en relation avec des œuvres existantes d’artistes peintres ou plasticiens. Les productions ont interrogé les grandes notions d’arts plastiques : graphisme, couleur, lumière, opacité, transparence, relief, espace, présentation, échelle et dimensions, en utilisant différents mediums, supports, matières. Les travaux oscillent entre productions intimistes (petits formats) et travaux de plus grande envergure (grands formats). Les élèves ont questionné le motif de la fenêtre dans ses formes, sa plasticité, sa fonctionnalité, sa symbolique. Certains élèves ont voulu s’affranchir de la forme standardisée de la fenêtre rectangulaire, en élargissant le motif de la fenêtre à celui d’un hublot de navire, d’un avion, d’un vaisseau spatial interstellaire, d’une voiture (pare-brise, miroirs de rétroviseur), d’un ordinateur allumé comportant des fenêtres ouvertes. D’autres ont relié la fenêtre avec la porte, la porte-fenêtre, ou la baie vitrée s’ouvrant sur un large paysage. D’autres enfin ont représenté des effets façon vitrail pour illustrer la fenêtre. Certaines productions se sont inspirées de la peinture d’Edward Hopper « Nighthawks » (1942), d’autres de la peinture d’Henri Matisse telle que Intérieur, bocal aux poissons rouges (1914), modifiant les points de vue de l’œuvre. Certains ont interrogé la question de l’image et de la brisure de la représentation au travers des bris de vitre, « Le soir qui tombe » (1964) de René Magritte, de la mise en abyme de la fenêtre dans la fenêtre ou du dialogue entre tableau et fenêtre comme « La condition humaine » (1933) de René Magritte. L’interférence entre fenêtre dans la fenêtre et fenêtre dans le tableau problématise l’image, ainsi que sa représentation. Ces associations contribuent à démultiplier les plans de la représentation ainsi que les espaces illusionnistes de la visibilité. Quelquefois, le travail dialogue également selon les modalités du diptyque ou du triptyque élargissant là encore le « regard du spectateur ». Le motif de la fenêtre a été représenté voire présenté comme une trouée dans un mur, un entre-deux, jouant entre l’intérieur et l’extérieur, l’obscurité et la lumière, le statisme et le mouvement. La fenêtre ne s’ouvre pas seulement sur un réel froid et dépourvu d’âme, mais un espace onirique et poétique exprimant chez les élèves un ailleurs, un imaginaire. Si le motif de la fenêtre a bel et bien été questionné par les élèves du point de vue de l’enseignement des arts-plastiques, la fenêtre en relation avec le cinéma (« Fenêtre sur Cour »), l’architecture (la fenêtre dans l’architecture du Centre Georges Pompidou ou de l’institut du Monde Arabe), l’installation (les œuvres in situ d’un Daniel Buren) n’ont pas été des thèmes abordés, quand bien même la problématique de la fenêtre aurait pu y inviter. Les élèves de l’Atelier ont également pu visiter l’exposition du peintre Anna-Eva Bergman au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, afin d’approcher la texture, les matières épaisses, les feuilles de métal (plomb, aluminium, cuivre, argent, or, aux qualités luminescentes) utilisées par cette artiste peu connue en France. Ils ont également pu voir une exposition plus conceptuelle, intitulée « Mondes parallèles » avec des artistes tels qu’Hubert Kiecol jouant du modèle de la maison architecturale avec des cubes ouverts et fermés en relation avec la fenêtre, ainsi que Marie Bourget qui a travaillé sur la « trahison des images », le miroir ne reflétant plus rien ou les Images réversibles (1990) à partir de la peinture « le Balcon » d’Edouard Manet (1868) conservée au Musée d’Orsay. En somme, cet Atelier a ainsi permis à chacun d’avoir une expérience individuelle, plus riche et plus approfondie des arts-plastiques, dépassant le simple champ du cours obligatoire hebdomadaire. La grande majorité des participants ont réussi à mobiliser leur créativité, leur sensibilité, leur imaginaire. Tous ont manifesté du plaisir à participer à l’atelier. C’est dire alors l’importance que revêtent les ateliers artistiques en général, car complétant le parcours scolaire obligatoire, ils contribuent à une action transformatrice des élèves en leur permettant de se construire et d’évoluer, peutêtre même en servant de déclencheur à leur réussite scolaire… Pierre REGISTO, professeur d'arts plastiques

Cette année l’Atelier a réalisé une série de productions visuelles autour du thème : «La nature et le paysage vus à travers les arts-plastiques et l’histoire des arts». Les années précédentes, il était de tradition que les productions des élèves de l’atelier puissent être montrées. Ces travaux faisaient l’objet d’une exposition en fin d’année au sein de l’établissement, durant « la journée portes ouvertes ». Hélas, cette année, la crise sanitaire sans précédent que nous avons connue n’a pas permis que se tienne ce rendez-vous annuel. De nombreux travaux ont été réalisés par les élèves utilisant les techniques les plus diverses, voire mixtes (gouache, acrylique, pastel, crayons noir et de couleurs, collages, papiers collés, etc.). La plupart des élèves ont montré « la nature et le paysage » sous des points de vue différents en relation avec des œuvres d’artistes peintres ou plasticiens. C’est ainsi que certains ont représenté le paysage en relation avec la peinture chinoise, d’autres se sont inspirés du paysage impressionniste par petites touches, d’autres ont dépeint le paysage urbain avec ses buildings. D’autres productions ont traduit le paysage à travers quelques détails ou beautés de la nature, tel que le grossissement des insectes, des coquillages, ou le zoom du monde des fleurs dans une interrelation avec « l’Œuvre d’art en résidence », Hisbiscus de Frédéric Vaësen. D’autres enfin, ont montré le paysage selon la lumière des quatre saisons. Certains ont exploité des formats horizontaux révélant le gigantisme et le problème de l’échelle dans la nature. Toutes les productions interrogent à leur manière les notions de la lumière, de l’espace, des échelles de grandeur, des matières et de la représentation/présentation. Cependant, aucune production ne s’est inspirée du paysage abstrait d’un Sam Francis ou d’un Zao Wou ki, etc. Nous renvoyons le lecteur aux différentes photos présentent sur ce site. Elles montrent une aventure humaine et un voyage pédagogique dans le questionnement et la pratique des arts-plastiques. L’intérêt de l’atelier artistique est de permettre la réalisation de travaux de plus grande envergure, difficilement réalisables dans le strict cadre du cours traditionnel d’arts-plastiques. Au final, certains élèves sont parvenus à répondre aux objectifs attendus de l’atelier. Certains ont pris conscience que produire des formes c’est créer du sens. La grande majorité des élèves ont réussi à mobiliser leur créativité, leur sensibilité, leur imaginaire, ainsi que le plaisir et la dynamique des échanges entre eux. Un tel atelier participe à la construction des élèves, voire même contribue à leur réussite scolaire. Pierre REGISTO, Professeur d’Arts-Plastiques

Cette année l’Atelier a réalisé une série de productions visuelles autour du thème : « Le mur à travers les arts-plastiques et l’histoire des arts ». Conformément à la tradition instaurée au Collège Paul Verlaine depuis de nombreuses années, les productions des élèves ayant fréquenté l’atelier ont été exposées lors de « la journée portes ouvertes » de l’établissement. De nombreux travaux ont été réalisés par les élèves à partir de techniques diverses, voire mixtes (gouache, acrylique, pastel, crayons noir et de couleurs, collages, papiers collés, photographies, etc.). « Le mur » est présenté et représenté sous des points de vue différents, parfois en relation avec des œuvres existantes d’artistes plasticiens. Le mur a été ainsi représenté en relation avec l’actualité, la COVID, les élections présidentielles, les évènements tragiques qui se déroulent en Ukraine, le féminicide. D’autres productions se sont inspirées des grandes peintures murales ornant les immeubles situés boulevard Vincent Auriol entre les 12e et 13e arrondissements de Paris (Invader, Obey etc.). D’autres se sont inspirées du langage du Street Art, reprenant le style des lettres, des couleurs, des coulures des taggeurs des banlieues afin d’exprimer des états d’âmes et/ou des réflexions sur notre temps. Mais le mur n’a pas été que le support de projections de traces, de messages, de slogans, de marques, il a aussi été envisagé comme des trouées, des fenêtres ouvertes sur un autre monde, un ailleurs. Tout cet ensemble a ainsi interrogé les notions des arts plastiques : graphisme, couleur, lumière, espace, présentation, échelle et dimensions, en utilisant différents mediums, supports, matières. Les travaux oscillent entre productions intimistes et travaux de plus grande envergure. Les élèves de l’Atelier ont également pu visiter l’exposition Eugène Leroy au Musée d’Art Moderne de la Ville de Paris, afin d’approcher la texture, les matières épaisses que peut prendre la peinture. Ils ont également fait une excursion guidée dans le musée à ciel ouvert des 12e et 13e arrondissements de Paris pour y admirer de très nombreuses fresques réalisés par des artistes venus de différents horizons. Ils ont pu apprécier de visu des techniques différentes utilisées pour la réalisation de fresques (peinture, pochoir, mosaïque, azulejos, mur pioché, etc…), considérer des trompe-l’œil, des anamorphoses, mais également évaluer les échelles des fresques, ressentir la place du spectateur dans ces décors urbains, surprenants et déroutants. Cet Atelier a ainsi permis à chacun d’avoir une expérience individuelle, plus riche et plus approfondie des arts-plastiques, dépassant le simple cours obligatoire hebdomadaire. La grande majorité des participants ont réussi à mobiliser leur créativité, leur sensibilité, leur imaginaire. Tous ont manifesté du plaisir à participer à l’atelier. C’est dire alors l’importance que revêtent les ateliers artistiques en général, car s’ajoutant au parcours scolaire obligatoire, ils contribuent à une action transformatrice des élèves en leur permettant de se construire et d’évoluer, peut-être même en servant de déclencheur à leur réussite scolaire… Pierre REGISTO, professeur d'Arts Plastiques

Le mercredi 28 novembre 2018, les élèves de l'atelier scientifique encadrés par M. Museux, professeur de physique-chimie et accompagnés de Mme Henao, professeure d'éducation musicale, ont pu découvrir des nouveaux pianos aux designs très variés. L'équipe pluridisciplinaire de l'atelier de réparation des pianos Pleyel nous a montré de manière très chaleureuse, les différentes facettes de leurs métiers : designers, musiciens, ébénistes ... La maîtrise des matériaux utilisés dans la conception ou la rénovation ont fait écho aux notions de chimie abordées en cours, telles que celles de mélange, de solutions, de pigments de synthèse ou naturels. A cette occasion, Jean, l'ébéniste n'a pas hésité à montrer la présence de calcaire dans la « ponce », en faisant réagir du vinaigre d'alcool sur cette poudre abrasive très fine, employée pour le lustrage des boiseries. Il nous a également montré les différents vernis qu'il prépare selon une échelle de teintes, allant du blanc au rouge. Le but est de rehausser les couleurs des pianos ternis par une trop grande insolation au cours du temps. Enfin, il nous a décrit des additifs naturels d'origine animale ou végétale utilisés pour obtenir la fluidité ou la texture désirée dans les applications. Une pianiste nous a joué le même morceau de musique, « Clair de lune » de Debussy, sur différents instruments pour nous faire percevoir les différences de puissance sonore ou de timbre selon les pianos exposés. L'architecture voûtée du showroom n'a fait qu'amplifier cette expérience et tour à tour, les élèves volontaires ont pu jouer sur des pianos d'exception. Ce fut donc pour nous tous, élèves comme enseignants, une expérience transversale très riche.

Le vendredi 24 novembre, les élèves de la 4èmeD ont bénéficié d’un atelier à la Maison de la Radio, accompagnés par leur professeure de musique Mme Henao, Mme Robert, professeure de français, et Mme Foulon, professeure-documentaliste. L’atelier fut divisé en deux temps : une première partie d’introduction sur la radio en général et sur les différents genres radiophoniques et une seconde partie de mise en pratique. Première partie: L’introduction Tout d’abord, l’intervenant fit émerger les connaissances des élèves sur le monde de la radio. Voici les questions qui ont été posées : Quelles radios connaissez-vous ? Connaissez-vous la différence entre radio publique et radio privée ? Quelle est la particularité des radios publiques ? Quelles chaines radios composent le groupe Radio France ? Quelles sont les missions de Radio France ? Comment une radio privée se finance-t-elle ? Après ces informations générales sur le monde de la radio, l’intervenant expliqua ce qui sera demandé aux élèves et les enjeux de cet atelier: aborder la musique philharmonique en explorant les différents genres radiophoniques, en particulier le débat, l’interview, l’horoscope et la météo. Pour que les élèves comprennent ce qu’est un genre, l’intervenant fit le parallèle avec les genres littéraires. Les genres radiophoniques qui ont été cités sont : l’interview, la fiction, le journal, les chroniques, la musique, le débat, la météo et l’horoscope. Avant de se mettre à la pratique, l’intervenant fit écouter des extraits de ces différents genres. Deuxième partie: La mise en activité Après des écoutes qui ont permises aux élèves d’appréhender quelques enjeux et codes des genres radiophoniques, ces derniers ont pu mettre leurs nouvelles connaissances en pratique. Par groupe ou seul, les élèves ont préparé leur passage au micro à l’aide de fiches détaillant le contexte et leur rôle. (4 élèves pour l’horoscope, 2 élèves par la météo, 3 groupes de 4 élèves pour le débat et 3 groupes de 2 élèves pour l’interview.) Les premiers élèves à passer présentèrent un interview entre le présentateur et un instrument de musique. Cela permit aux élèves d’apprendre en même temps les codes radiophoniques et les instruments de musique classique.

Cette séance a eu lieu au collège en salle de français. Les élèves de 4ème A ont travaillé autour d’une deuxième scène de Boule de Suif, le repas dans la diligence, avec toujours beaucoup d’enthousiasme. En voici quelques images… Merci à Madame Tricot pour avoir éclairci le contexte historique de la nouvelle.

Dire l'Amour : L'atelier théâtre a lieu chaque mardi, jusqu'au jeudi 2 février, jour de la représentation à la Maison du Geste et de l'Image, partenaire du collège en cette occasion. Les élèves travaillent sur les textes étudiés en cours depuis le début de l'année avec leur professeur de français, les mettent en espace et en voix. Valentina Arce, metteur en scène et comédienne au Théâtre du Shabano, et Raquel Santamaria, comédienne, les guident dans cette découverte des enjeux de l'interprétation d'un texte. Ce travail leur donne les moyens d'exprimer le sentiment amoureux, de le penser en termes de jeu théâtral, d'enrichir leur expression personnelle. Voici quelques images de l'atelier, en attendant les mots !

Les élèves de la classe de 5A ont été initiés à la musique et à la danse du Moyen-âge et de la Renaissance grâce à Aurélie DUCOL, musicienne-intervenante. D’abord au collège, puis dans les murs du Château de Vincennes, de l’Olifant de Roland au Saltarello sautillant comme son nom l’indique….des trompettes naturelles représentées sur les vitraux de la Chapelle Royale aux sculptures d’anges et de sirène jouant des instruments de musique sous les fenêtres de la chambre du roi Charles V, l’ami des arts. Les élèves ont même appris à danser la Danse Macabre et la Pavane, danse lente et majestueuse de la Renaissance ! Pour les voir danser, cliquez ici et là . Mme Henao, professeure d'éducation musicale

Le mercredi 22 novembre, les élèves volontaires de 4eB ont eu la chance de visiter le showroom des pianos PLEYEL, dans le cadre de l'atelier scientifique " le son et nos oreilles". Madame Virginie Boyer, accordeuse de piano, responsable de l’atelier de réparation des pianos PLEYEL ainsi que son assistant Jean, ébéniste de formation nous ont accueilli très chaleureusement. Ils ont tour à tour expliqué aux élèves la complémentarité de leurs métiers, leurs parcours de formations et leurs motivations initiales. Ils ont également décrit les formations existantes (école ITEMM au Mans). Nous avons ainsi pu observer les trois types de pianos qu’ils sont amenés à réparer : - un piano « carré » datant de 1837 - un piano droit plus récent avec son mécanisme à marteaux - un piano à queue et ses marteaux La description des matériaux utilisés, les évolutions des techniques ont été détaillées telle que l’emploi d’ivoire pour les touches. Enfin, quelques questions préparées initialement ont pu être posées, satisfaisant ainsi la curiosité du groupe. Plus d'informations sur ce lieu situé au 93-95 avenue Daumesnil (Viaduc des arts) : http://www.leviaducdesarts.com/fr/joue-la-partition-des-savoir-faire-et-s-installe-au-viaduc-des-arts-433.html

Voir les photos de quelques productions d’élèves autour de l'oeuvre de Julien Beneyton, "La Discrète".

En 2020-2021, les élèves de 3eA ont bénéficié d’un partenariat avec la MGI pour réaliser un court-métrage sur le thème de l’égalité. Guidés par leur professeure, Fabienne Robert et le réalisateur Bartek Woznica, ils ont pensé, tourné, monté, réalisé le générique et les musiques de leur film intitulé « Avec toi, je suis devenu.e ce que je voulais être », en hommage au film d’Arnaud Desplechin, Trois souvenirs de ma jeunesse. Leur film poétique et atypique porte un regard original sur les paroles amoureuses et amicales que l’on peut échanger quand on a quinze/ vingt ans. N’ayant pas le souci de « raconter une histoire », ils nous donnent à voir et à entendre des mots et des images, comme autant de portraits de la jeunesse d’aujourd’hui et on devine comment des souvenirs de cinéma ont pu traverser chacun d’entre eux.

Après avoir pris un copieux petit déjeuner nous sommes allés visiter le Bundestag, équivalent de notre assemblée Nationale et avons pu admirer Berlin du haut de la coupole en verre. Ensuite direction l’île aux musées, Pergame puis altes Museum pour admirer les vestiges du berceau de la civilisation . Il était déjà midi passe et tout le groupe avait faim .... repas et repos bien mérités à l'université Humboldt. L’après midi a été consacrée exclusivement à Berlin Est devenu le quartier Mitte depuis la réunification. Montée à la tour de TV Alex, emblème de Berlin puis visite des alentours, de sa place avec le cadran solaire, le quartier de mon bijou et de Prenzlauer Berg avec ses habitations ouvrières devenues résidentes d’exception ou de créateurs, ensuite marche le long de la East Side Gallery, Galerie à ciel ouvert où l’année de la réunification 120 artistes internationaux on été conviés à décorer le mur qui séparait depuis1961 l’est et l’ouest de Berlin .... galerie qui disparaît progressivement au profit d’habitations de luxe donnant sur la Spree et le célèbre pont en briques rouges à tourelles le Oberbaumbrücke .... que nous avons traversé avant de rejoindre le quartier de Kreuzberg. La journée bien remplie s’est achevée par le concert de Mozart et Prokofiev à la célèbre Philharmonie. Pour voir le journal-photo des autres jours, cliquez ici , là et là.

Départ plus tardif ce matin en prévision d’une journée longue: direction Berlin Mitte vers le quartier francais, arrêt au point de passage du secteur américain Checkpoint Charlie lorsque Berlin après la seconde guerre mondiale a été divisée en quatre secteurs. Visite du musée du mur qui relate son histoire de 1961 jusqu’à sa chute en 1989 avec les poignants témoignages de gens qui ont tenté de multiples façons de passer de l’Est à l’Ouest. Déjeuner dans le quartier de Charlottenburg puis départ pour Potsdam ville située à 85 km de Berlin, avec le célèbre château Sanssouci, autrefois résidence d’été de Frédéric II, roi de Prusse. Promenade dans la ville avec son architecture baroque et son quartier hollandais. En soirée retour sur Berlin, dîner sur le Ku’damm puis soirée Bowling, activité très prisée des allemands. L'équipe éducative : Mme Lefranc, professeure d'allemand Mme Tricot, professeure d'Histoire-Géographie Mme Bruel, infirmière scolaire M. Massenet, AED Pour voir le journal-photo des autres jours, cliquez ici , là et là .