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17/03/2022

Animateur du domaine Énergie et information du RNR STI

L'Inspection Générale STI recherche un(e) professeur(e) pour assurer la mission d'animateur du domaine énergie et information du RNR STI. La mission correspond à un demi-ETP. Les candidatures doivent être adressées avant le 30 avril 2022 à : - Régis Rigaud : regis.rigaud@igesr.gouv.fr - Philippe Young : pyoung@portail-sti.fr
 
26/09/2020

Certification PIX

Après quatre années d'expérimentation et de co-construction, le dispositif Pix est généralisé dans les collèges et lycées.
 
01/02/2017

Le bilan de la réforme de la voie technologique

Bilan de la reforme et préconisations, réalisés par la mission conjointe IGEN - IGAENR à partir d'un important travail d'enquêtes et d'entretiens aux niveaux national et académique.
 
26/10/2016

Trois enseignants sur quatre effectuent des heures supplémentaires dans leur emploi du temps

Entre 2007 et 2011, le nombre d’heures supplémentaires dispensé par les professeurs du second degré public n’a cessé de croître. Les enseignants ont été ainsi sollicités au-delà de leur temps réglementaire pour compenser la diminution du nombre de postes. En 2011-2012, 73 % d'entre eux assurent au moins une heure supplémentaire par semaine, tout au long de l’année. Entre 2002 et 2011, les effectifs d’élèves diminuent de 3,3 % dans le second degré public quand le nombre d’enseignants se réduit de 14 %. Cette diminution s'est accompagnée d'une élévation de 5 % du volume d'heures supplémentaires annuelles (HSA) en moyenne annuelle, contribuant à l’augmentation du temps de service des enseignants. Le nombre d’HSA est déterminé en partie par le corps d’appartenance de l’enseignant. Les professeurs agrégés sont 84 % à effectuer au moins une HSA. Leurs collègues certifiés et professeurs de lycée professionnel sont 73 % dans ce cas.
 
26/10/2016

Suivi de la mise en œuvre de la réforme du lycée d'enseignement général et technologique

L es inspections générales – IGAENR / IGEN (inspection générale de l’administration de l’éducation nationale et de la recherche et inspection générale de l’éducation nationale) – ont poursuivi cette année le suivi de la réforme du lycée d’enseignement général et technologique. Le rapport, qui fait suite à celui de février 2011, s’appuie sur des entretiens avec les autorités académiques et sur la visite de 40 lycées dans sept académies de novembre à décembre 2011. Au cours de ces visites, les inspecteurs généraux ont rencontré, outre les proviseurs et leurs adjoints, plus de 400 enseignants et presque autant d’élèves. Ils ont observé 120 séances d’accompagnement personnalisé. Les observations et les échanges montrent que la réforme est réellement engagée dans la grande majorité des lycées visités. Ils mettent aussi en exergue que les acteurs ont besoin d’en parler, d’être écoutés, d’être formés par rapport aux difficultés réelles qu’ils rencontrent. L’ampleur, la rapidité et la complexité des changements attendus et les responsabilités nouvelles données aux chefs d’établissement et aux enseignants sont encore plus prégnantes que l’an dernier du fait que deux niveaux d’enseignement sont désormais concernés (seconde et première). La mission d’inspection générale souligne une nouvelle fois qu’on ne peut pas porter une appréciation sur la mise en œuvre de la réforme sans tenir compte de ce contexte et que ce processus demande du temps, pour l’appropriation, pour la conception, pour la mise en œuvre.
 
26/10/2016

L’évolution des concours de recrutement des professeurs

Comme il existe désormais un cursus continu de formation en technologie dans l’enseignement secondaire, de la classe de 6e à la terminale, qui se prolonge dans l’enseignement supérieur avec les CPGE et les BTS, il a paru logique d’adapter les concours de recrutement que sont les Capet et les agrégations. Ces concours comportent donc des épreuves validant les compétences relatives aux enseignements technologiques transversaux complétées d’épreuves s’appuyant sur un domaine de spécialité. Cette dualité permet de garantir qu’un enseignant de STI sera capable de former des collégiens, en dispensant uniquement un enseignement transversal, ou des lycéens en intervenant en S SI et en CPGE (enseignement transversal de haut niveau). Pour enseigner en STI2D, un enseignant devra être capable d’intervenir dans la partie transversale ainsi que d’assurer l’un des quatre enseignements spécifiques de spécialité. Cela explique la création de ce Capet en sciences industrielles de l’ingénieur (SII) à quatre options, chaque option correspondant à une spécialité du bac STI2D. À ce niveau, le poids du transversal représente deux tiers des coefficients. La première session de ce Capet aura lieu en 2012. Les concours de l’agrégation reprennent le même principe, mais en inversant le poids des coefficients des épreuves de spécialité, représentant les deux tiers des coefficients du concours. Les quatre agrégations (génie civil, génie électrique, génie mécanique et mécanique) sont remplacées dès la session 2013 par une agrégation de sciences industrielles de l’ingénieur à trois options : option « sciences industrielles de l’ingénieur et ingénierie mécanique », option « sciences industrielles de l’ingénieur et ingénierie électrique » et option « sciences industrielles de l’ingénieur et ingénierie des constructions ». Voir arrêté du 25 novembre 2011. Ce choix est justifié par la spécificité professionnelle de la grande majorité des formations de l’enseignement supérieur (à ce niveau, seuls les enseignements de sciences industrielles pour l’ingénieur en CPGE restent transversaux). Les professeurs agrégés étant majoritairement destinés à enseigner en post bac, ils devront faire preuve d’un haut niveau de compétences dans un domaine donné pour intervenir dans un enseignement professionnel de BTS ou d’IUT et même, pour nombre d’entre eux, en écoles d’ingénieur. Cette évolution engendre beaucoup d’espoirs et doit permettre de recruter des professeurs aux compétences plus transversales. Pour en savoir plus : le texte du JORF du 10 janvier 2012