Portes ouvertes du CDI pour le printemps des poètes

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Une seule et unique voyelle, quatre fois invoquée, entre la fièvre, le murmure, la foudre, l’imaginaire, l’insaisissable, l’à-venir, l’impensé, le maternel, le fugace, la soif, l’énigme, le précaire, l’effervescence, le friable, l’envol, l’impermanence…
Plus vaste que l’antique Carpe Diem et plus vital aussi, L’éphémère n’est pas qu’un adjectif de peu d’espoir. C’est un surcroît d’urgence, de chance et de vérité.
(Sophie Nauleau, Texte de présentation de l’édition du Printemps des poètes 2022)
  A l’occasion de cet événement,  placé cette année, comme vous l’avez compris,  sous le signe de L’Ephémère, les élèves qui font partie de l’Atelier gravure, ont eu le plaisir d'inviter à (re-) découvrir   l’œuvre du poète japonais Matsuo Bashô. Qui, mieux que lui,  a su saisir ces instants fugaces d’émerveillement que la nature nous offre au fil des saisons ?
 
 Pendant la pause méridienne du mardi, les élèves, munis d’une pointe sèche, ont cherché à illustrer les Cent onze haiku du moine voyageur.
 
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Les visiteurs ont pu expérimenter cette technique de gravure en taille-douce et repartir avec leur propre gravure, les élèves les ont accompagnés dans cette découverte.
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Un ouvrage rassemblant l'ensemble du travail des élèves a été édité.
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