Les élèves ont conscience d’utiliser ou d’être influencés par l’IA quotidiennement : recherches sur internet, contenus proposés par les applications, utilisation de logiciels pour dessiner, films, etc.
Des échanges sont menés pour savoir si l’IA pourrait dépasser l’Homme, ou servir à « abolir » l’Homme (comme dans « Terminator »). Monsieur Bach précise que les réponses que nous apportons ne sont que des suppositions.
Pour l’instant, les robots créés n’ont pas d’émotions.
Une remarque est faite sur les incroyables capacités du cerveau humain : à l’âge de 5 ans, un enfant peut tenir une conversation, en ayant eu la lecture d’un nombre restreint de livres. Une IA a « lu » tous les contenus numérisés (c’est -à-dire des millions d’écrits) mais les conversations avec les humains ne sont pas encore au point. De même, un enfant sait marcher à l’âge d’environ 1 an, alors que le déplacement des robots est encore difficile.
Monsieur Bach pense en revanche que le cerveau humain pourrait un jour être copié.
Dans son travail de chercheur, Monsieur Bach code quotidiennement, mais il faudrait que les élèves aient un niveau licence (L3 min) pour expliquer ce qu’il fait plus concrètement. Il utilise les mathématiques, en particulier les applications linéaires.
Il encourage les filles à se diriger dans les carrières liant mathématiques et informatique car les femmes sont encore trop peu représentées dans ces domaines. On remarque que les filles ont plus souvent des résultats homogènes dans les disciplines et ont donc un choix plus ouvert que les garçons.
Et pour poursuivre la réflexion :
Isabelle Meier,
professeure de mathématiques
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